mardi, octobre 28

Si vous ne vous aimez pas, comment pourriez-vous comprendre qu'un autre puisse vous aimer?


Bon j'écris un article en ce mardi 28 octobre (en écoutant 9 crimes de Damien Rice) pour simplement dire quoi... ???

/!\ Suspense/!\

Que notre vie c'est de la merde ... qu'est-ce que vous voulez?? quand vous avez votre grand père qui décède pendant vos vacances d'été en Andalousie qu'il était en très bonne santé (bon pas exactement mais il était bien quoi) quand vous lui avait dit "à dans 15 jours ^_^!" et qu'une fois là-bas pendant que vous regardez un épisode de grey's anatomy sur votre ordinateur portable (juste celui ou deny meurt, l'ép
isode 27 de la saison 2) et qu'à 22h on appelle votre mère et on vous dit que c'est fini ?? bien sûr vous souffrez au moment même, mais ce n'est rien par rapport au 18h de route que vous allez faire en voiture non-stop...Une fois arrivé on se retrouve dans cette maison...celle de votre grand père...Vide car a peine 1 an avant votre grand mère est décédé aussi...Bien sûr il y a la famille dans la maison pour vous "soutenir" mais LUI où est-il ? Vous le savez mais vous ne voulez pas y croire... Ca y est le compte a rebours a commencé vous avez 72h avec lui dans cette maison, il est dans sa chambre, 72h après on vous l'enlève... c'est parti pour 72h de "bonheur" je dis bonheur car il est encore là ... vous passez une journée là-bas...Vous rentrez chez vous, vous vous couché. Vous retournez le lendemain, passez une journée plutôt agréable parce que bizarrement ça vous fait du bien de pouvoir lui dire au revoir vous rentrez a nouveau. Et Hop le lendemain vous revenez, les pompes funèbres sont là ainsi que toutes la famille c'est aujourd'hui qu'on vous "l'enlève" et c'est à ce moment précis que vous souffrez a un point inimaginables, mais bon vous essayez de supporter car votre mère fait de son mieux pour ne pas craquer ce n'est pas a vous de craquer... mais vous craqué et là vous ne pouvez plus vous arrêtez de pleurer c'est impossible... La journée passe...La famille reste avec vous, vous discutez mais vous savez très bien que le soir quand vous serez seul dans votre lit, vous ne cesserais de pensez à lui.

Voilà ça devez sortir j'avais besoin d'en parlé, je l'ai fait j'en avait besoin (eh non je suis pas du genre a me lamenté pourtant).N'ayez aucune sorte de compatis ou de pitié, je vais bien, ça devais simplement sortir. Si je vous ai occupé c'est super si vous vous êtes emmerdé et avait l'impression d'avoir perdu votre temps,désolé...



B.C

* le pronom "vous" n'est pas pour dire que
j'ai une vie pourri ou d'essayer de vous mettre dans le contexte parce que je ne pense pas être le seul a vivre ça car ces moments là on les a tous vécu un jour et si ce n'est pas le cas je vous souhaite de les vivres le plus tard possible..


Sur les ailes du temps, la tristesse s'envole.

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